| − | 5h30, il était temps pour Charlie de partir. Encore endormie elle vérifia si ses affaires et tous ses papiers pour le vol étaient là, c'était bon elle chargea dans le coffre de sa petite voiture son gros sac mauve de voyage, et se mit en route. Depuis que sa tante, Victoria qu'elle avait perdue de vue, lui avait proposer de venir quelque temps à New-York elle ne dormait plus beaucoup, elle n'arrêter pas de se retourner dans son lit elle était toujours étonnée par la proposition de sa tante, c'était vraiment la proposition rêver : revoir sa tante, et essayer de trouver un job à New-York, elle ne pouvait pas rêver mieux. Elle avait hâte de la revoir, petite elle était si impressionner par sa tante : de sa beauté et de sa classe, même en se réveillant avec les cheveux en pétard elle rester belle, ce genre de beauté naturelle qui fait en jalouser plus d'une. Victoria, c'était le genre de personne avec qui on ne s'ennuyait jamais, toujours débordante d'énergie et pleine d'idée de quoi bien rigoler et passé une bonne journée. Charlie roulais a vive allure sur l'autoroute, il n'y avait personne sur les routes, c'est sûr qu'un dimanche matin tout le monde préfère faire la grasse matinée. Elle atteignit Rennes en 1h45, elle s'arrêta faire le plein d'essence ce qu'elle avait oublié de faire avant de partir. Elle admira le lever du soleil qui, avec ses belles teintes orangées ressemblait à une toile qu'on aurait dû accrocher dans un musée, elle en oublia de faire attention à la jauge d'essence et faillit faire déborder son réservoir. Elle se remit en route et ne prit pas le temps de s'arrêter prendre un petit-déjeuner, malgré le fait qu'elle soit arriver à Rennes en un temps record, elle avait peur de rater son avion. Elle prit donc une barre de céréale qui traînait sur le siège passager, qu'elle avala en deux bouchers. Après 3h de route et quelques barres de céréales Charlie était enfin arriver à Paris, elle regretta de ne pas pouvoir rester plus longtemps pour visiter cette belle ville, mais une autre l'attend de l'autre côté de l'Atlantique. Elle se rendit à l'aéroport, et ralentis pour observer ces avion tous similaire, et tous bien rangé, l'un de ces avions l'emmènerai à New-York se dit-elle. Elle était encore plus excitée d'y aller. Après avoir enfin trouver la place de parking idéal elle entra dans le hall, elle était un peu perdue dans ce grands bâtiment avec ses grandes vitres de sortes a voir un avion décoller jusqu'à le perde dans les nuages. Charlie chercha un bureau ou faire enregistrer ses bagages, elle se dirigea vers une jeune femme derrière un des bureaux d'accueil, habiller d'un élégant tailleur bleu, qui lui acquiesça un grand sourire, elle le lui rendit, c'était agréable de se faire si chaleureusement saluer pensa Charlie, elle lui tendit son gros sac de voyage mauve. L'hôtesse tapa à son ordinateur si vite que Charlie en était un peu perdue et déposa sur son sac une étiquette verte comme quoi tout était bon, tout en lui rendant son sac, elle lui souhaita un bon voyage. Il lui rester assez de temps avant le décollage pour se prendre un café, elle alla donc s'asseoir a l'un des café de l'aéroport,le plus près de la porte d'embarquement pour New-York, et commanda un cappuccino et un croissant qu'elle trempait dans son café, tout en regardent par la fenêtre les gens plus ou moins pressés qui déambulés dans le hall, c'était l'une des choses qu'elle adorait faire, regarder les gens se presser tandis qu'elle se détends et boit un bon café chauds. Une hôtesse annonça l'embarcation du vol pour New-York d'une voix stricte. Charlie s'empressa de récupérer son sac à main et rejoignit les autres passagers à la porte d'embarquement, ou une autre femme tailleur bleu attendait devant, pour vérifier les passeport. Enfin dans l'avion, Charlie dût jouer du coude entre les passagers qui essayer de ranger leurs bagages a main dans les compartiments déjà bien pleins. Elle trouva enfin sa place, près du hublot. Elle s'y installa, elle trouva le siège plutôt confortable en tout cas ça lui suffira pour les longues heures qu'elle passera à bord de cet avion. Un homme plutôt grand, la soixantaine s'installa dans le siège à côté d'elle :
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| − | Charlie lui, sourit ses paroles la rassura, elle se détendit, et regarda par son hublot, elle avait une vue magnifique de Paris. La tour Eiffel devenait de plus en plus petite on ne distinguait presque plus c'est 4 pieds encrés dans le sol. La dame de fer de plus de 300 m n'était la, pas plus grandes qu'un jouet. Elle diminua encore et elle la perdit derrière les nuages. C'était une belle image pour quitter le sol de Paris pensa Charlie. Mal de tête, turbulence, et retards voilà comment résumer les dernières heures de vol, il restait encore plus d'une dizaine d'heures de vols et Charlie n'avait toujours pas réussi à trouver le sommeil alors que son voisin lui dormait depuis deux heures, elle ne pensait pas, que de passer dans un nuage serait aussi mouvementer et que son voisin était aussi imperturbable dans son sommeil. Les plateaux repas furent enfin servit. Charlie inspecta le contenu de son plateau, une bouteille d'eau, du riz pas bien cuit avec quelques courgettes et une sauce d'une couleur suspecte, un morceau de pain et du fromage. Elle avala un peu de riz mangea une moitié de pain avec le fromage et garda l'autre moitié de pain pour plus tard. Le reste du voyage se passa plutôt bien elle trouva le sommeil après son repas et le reste du temps elle observer les hôtesses faire leur boulot et regarda par la fenêtre en essayant de reconnaître au-dessus de quelle pays survolaient l'avion. À l'atterrissage, tous les passagers qui étaient bien assis au fond de leurs sièges s'avancèrent tous synchrone. Quand le pilote indiqua le droit de sortir de l'avion, tout le monde se ruèrent vers les portes, Charlie salua le vielle homme qui était assis a cotes d'elle et espérait le revoir durant son séjour. Elle était enfin sur la terre ferme, elle rejoignit le hall ou l'attendait sa tante Victoria avec une grande pancarte écris «Charlie» en rose paillette en sautillant partout, elle était toujours aussi extravagante et énergique qu'avant, dés qu'elle vit Charlie elle la serra dans ses bras si forts que Charlie eut du mal à respiré. Il fallait encore rester à l'aéroport pour remplir quelques papiers et récupéré son bagage. Charlie était impatiente de découvrir New-York.
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