Kary Mentier

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En France se trouvait cette belle région, la Fanche Comté, et dans cette région se trouvait le Doubs, un département chaleureux où il y avait un petit village nommé « Pont-Les-Moulins » .
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Plus le temps passait et plus Mélanie et Kary se rapprochaient, leur amitié avait fini par se terminer en amour un soir ils étaient partis dîner au restaurant pour parler de l’avenir du cabinet.
C’était un village accueillant, calme, fleuri, paisible, retiré de la ville, même un étranger pouvait se sentir comme chez lui.
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Kary lui avait parlé de la joie qu’il avait eue en la voyant revenir en France et lui avait avoué les sentiments qu’il éprouvait à présent pour elle.
En entrant dans ce village, on pouvait voir des champs tout autour et des habitations. Ces habitations formaient des petites ruelles. La maison la plus haute du village se situait au loin dans la rue de la Cure. C’était une maison à trois étages, ce qui était peu commun dans ce village. Elle appartenait à un jeune homme de vingt-huit ans nommé Kary Mentier.                          C’était un homme qui entrait dans la vie active, un homme instruit et cultivé qui aimait son travail. Un homme généreux, charitable, loyal, honnête, franc, aimable, et surtout ambitieux mais aussi, malgré lui, quelqu’un d’influençable. Il était très individualiste, il préférait tracer sa route seul, il n’avait donc pour le moment aucune relation amoureuse. Peut-être, parce qu’il n’avait jamais encore connu le grand amour mais il n’oubliait pas pour autant que ses proches étaient là pour le soutenir dans ses choix. Il était muni d’une voix douce et d’un tempérament naturellement calme.
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Mélanie, quand à elle, n’était pas restée indifférente à ses propos et ils formaient désormais un couple heureux.
Il avait acheté cette maison dans ce village car c’était le village où il était né. Avant sa naissance, ses parents vivaient là, à « Pont-les moulins », puis avaient déménagé car ils trouvaient ce village trop éloigné de la ville pour élever leurs enfants. Étant plus jeune, Kary avait fait des études pour devenir dentiste, il s’était promis que s’il parvenait à obtenir son diplôme, il viendrait exercer sa profession dans ce village qui était donc le village où sa mère l’avait mis au monde.
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Elle était venue habiter avec lui au-dessus du cabinet et avait accepté toutes ses habitudes, elle l’accompagnait même quelques fois à la boulangerie et acceptait l’idée d’avoir un voisin assez bizarre.
Au rez-de-chaussée de sa maison, Kary avait aménagé un cabinet dentaire et les deux autres étages lui servaient d’habitation. Il y avait la cuisine, une grande pièce où il y avait tous les ustensiles nécessaires pour préparer de bons petits plats, la salle de bain avec une baignoire, la salle à manger pouvant accueillir huit à dix personnes et sa chambre.
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Après une année passé ensemble, Mélanie devait repartir vivre à New-York mais pour Kary il était impossible de mettre fin à leur relation.  
Dans cette chambre, qui était la plus petite pièce de la maison, il y avait son lit, ses affaires bien rangées dans les placards, un grand miroir où tous les matins, avant de partir, il se regardait. Dans ce miroir, il voyait son visage fin, lisse, d’une forme ovale, au teint différent à chaque saison, l’hiver plutôt blanchâtre et l’été bronzé. Un visage gai, souriant, qui donnait goût à la vie. Ses cheveux étaient châtains, raides, avec une petite mèche qui lui donnait un côté charmeur et qui retombait sur son front bombé. Ses yeux étaient d’un vert flamboyant qui reflétait son honnêteté, il avait un nez retroussé un peu en trompette, une fine bouche qui laissait voir de belles dents blanches, des joues un peu joufflues et un menton rond et fin. Il pouvait voir sa fine silhouette, ses épaules carrées, ses mains fines et douces, ses jambes élancées. Il était sûr de lui, l’air fort malgré ses membres menus. Avant d’enfiler son polo bordeaux orné d’écritures blanches, il regarda sur son biceps gauche une petite tâche de naissance qu’il avait hérité de sa maman. Puis il mit un jean serré dans les tons beiges assorti à des chaussures à lacets de couleur taupe et une veste en cuir noir qui lui donnait un côté sérieux. C’était le genre de tenues qu’il mettait assez souvent.
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Deux solutions se présentaient à lui : soit il restait en France et gardait contact le plus possible avec sa bien aimée ou soit il quittait tout pour partir avec elle en risquant de ne plus avoir de travail et d’être éloigné de sa famille.
Une fois prêt, il avait pour habitude d’aller chercher un petit pain au chocolat pour sa secrétaire, Mademoiselle Fileman. Sa secrétaire était une amie d’enfance de Kary, elle était d’origine américaine, sa mère vivait à New-York et son père  dans le village.
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Il avait beaucoup réfléchi et avait opté pour la deuxième solution qui était de tout quitter pour partir avec Mélanie. (6)
Mélanie Fileman était venue en France pour terminer ses études et passer du temps avec son père. Kary lui avait demandé à l’ouverture du cabinet de devenir sa secrétaire et elle avait accepté sans hésitation.
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En réunissant tout leur argent et en vendant le cabinet ainsi que l’appartement, ils pouvaient largement se payer un aller en Cargo d’une durée de neuf jours (1) et refaire leur vie à New-York.
Elle était grande, blonde, aux yeux verts également. Kary et elle s’étaient perdus de vue vers l’âge de douze ans lors du divorce de ses parents, elle avait dû partir à New-York habiter avec sa mère.
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Leur départ était prévu dans moins d’une semaine, ce qui leur laissait tout juste le temps de préparer leurs bagages et leurs papiers, de dire au revoir aux habitants du village et de rejoindre le port du Havre, là où le Cargo aller prendre le départ. Agnès les avait invités à venir dîner pour passer quelques bons moments ensemble et les remercier de toutes les délicates attentions qu’ils avaient eues durant tout ce temps envers elle ainsi qu’envers sa sœur.
En allant chercher les petits pains au chocolat, il prenait de temps en temps des croissants pour Marianne Mordou, la sœur d’Agnès Mordou, sa voisine. Marianne était venue habiter chez sa sœur suite à un accident de voiture qui lui avait paralysé les membres inférieurs et qui avait coûté la vie à son mari. Elle avait trois enfants mais ils ne venaient pas souvent lui rendre visite, il ne lui restait donc plus que sa sœur avec qui elle était très proche. C’étaient deux personnes âgées d’une soixantaine d’années qui vivaient toutes les deux dans leur petite maison en briques rouges, voisine du cabinet de Kary.
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Mélanie possédait déjà tous les papiers nécessaires pour embarquer et entrer aux Etats-Unis mais ce n'était pas le cas de Kary qui devait donc préparer tout cela assez rapidement. Il lui fallait un passeport biométrique qu’il avait déjà en sa possession et une exemption de visa électronique, l’ESTA, qu’il n’avait pas. Pour l’obtenir il lui suffisait juste de remplir un formulaire qui se trouvait sur le site internet du gouvernement américain, ensuite il était autorisé ou non à entrer aux Etats-Unis suivant les réponses qu’il avait données. Il n’avait pas besoin d’imprimer ce document car la forme papier n’allait pas lui être demandée. (4)
Kary avait fait connaissance avec Agnès un matin lorsqu’elle allait chercher son pain comme tous les matins. Ils avaient tous les deux pendant un long moment parlé de Marianne, du cabinet, de la nouvelle vie de Kary, de la vie d’Agnès. Le contact était très bien passé entre eux.
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Sur un Cargo, les cartes bancaires, cartes de crédits ou les chèques n’étaient pas acceptés, il était donc obligatoire de prévoir du liquide en euros ou en dollars. Kary avait préparé des billets en euros car Mélanie, elle, avait déjà du liquide en dollars au cas où. (3)
Et comme chaque matin, Kary passait devant la maison de son autre voisin, un voisin un peu louche, bizarre, qui s’était installé depuis deux semaines dans ce village. Depuis qu’il était là, les volets de sa maison restaient fermés, il sortait peu et ne recevait aucune visite. Il était vêtu en noir de la tête au pieds, portait un grand chapeau noir , avait des chaînes sur les chaussures.
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L’heure du départ avait sonné, il était temps pour Kary et Mélanie de quitter le village de Pont-les-moulins et de rejoindre le Havre au Nord de la France.
Dans ce village d’habitude rien ne se passait, les habitants se posaient beaucoup de questions sur cet homme si mystérieux.  
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Pour entrer sur le quai, il fallait d’abord passer la douane, montrer ses papiers afin de voir s'ils étaient en règle, montrer son passeport pour embarquer et arriver sur le quai, ça commençait par donner le tournis. Et le mal de mer n'y était pour rien mais l’échelle phénoménale des forces en présence donnait le vertige. Des conteneurs de vingt tonnes, manipulés comme des pièces de construction, étaient soulevés par des grues monumentales, posés sur des camions, emportés par des machines aux longues pattes d’insectes qui semblaient tout droit sorties de l’imagination d’un réalisateur de film de sciences fictions : grondement de diesel, sifflement de sirènes, chocs sourds du métal, bruits en tout genre. On se dévissait la tête pour suivre le va-et-vient incessant de cette machine d’acier. Les opérations de chargement tournaient à plein régime.  
De retour de la boulangerie, Kary allait dans son cabinet et avant de recevoir ses premiers patients, il préparait sa salle de consultations. 
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Kary et Mélanie montèrent sur le Cargo en destination de New-York. Une personne chargée d’accueillir les passagers, les emmena dans leur cabine afin qu’ils puissent s’installer assez rapidement.
Dans cette salle il y avait de grandes baies vitrées avec des volets électriques qu’il fermait la nuit et ouvrait chaque matin, c’était la source lumineuse de la pièce. Une fois les volets ouverts, il pouvait voir les murs blancs cassés de la salle, les grands carreaux blanc du carrelage. Il allumait son ordinateur qui était sur son bureau avec ses dossiers, une photo de sa famille et quelques prospectus sur la santé bucco-dentaire. Puis il installait sa tablette amovible avec tous ses instruments de dentiste qui était à côté de l’élévateur en cuir noir. Sur cette tablette se trouvait la fraise, c’était une roulette, c’est-à-dire une mèche en métal actionnée par une turbine plus ou moins rapide qui servait à détruire les parties de dents friables, les pansements ou à polir l’intérieur des cavités ; la pompe a salive qui servait à aspirer la salive du patient lors de la consultation, la pince d’extraction qui servait à retirer les dents ; le bistouris qui servait à faire des incisions. Ensuite, Kary vérifiait les réserves dans le placards en hauteur accrochées aux murs. Dans ces placards, il y avait des stocks de serviettes, de produits, de papiers, d’outils de rechange, de dossiers. Il mettait en ordre le plan de travail qui était sous les placards. Après il nettoyait le crachoir qui était à côté de l’élévateur, vérifiait si la lumière qui servait à éclairer la bouche du patient lors de la consultation était en état de marche.
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Leur cabine était spacieuse, ils avaient à leur disposition une chambre pour deux personnes, une salle de bain, et  un endroit pour se relaxer avec des fauteuils et une télévision.  
Dans sa salle de consultation, Kary avait décidé de faire un coin détente pour les enfants qui venaient avec leurs parents aux rendez-vous afin qu’ils ne s’ennuient pas et chaque matin il disposait des feuilles blanches et quelques crayons sur le petite table. 
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Une fois le Cargo prêt et les passagers bien installés, le navire se décollait du quai avec l’aide de deux remorqueurs dont les propulseurs  blanchissaient la mer.
Peu de temps après, Mélanie arrivait dans le cabinet. Le cabinet était spacieux, moderne et convivial, il se composait de quatre pièces : il y avait l’accueil, la salle d’attente, la salle des consultations et les toilettes.
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Le voyage d’une durée de neufs jours avait commencé, Kary et Mélanie étaient déjà impatient d’arriver à destination, ils étaient excités à l’idée  de faire une nouvelle vie, de reprendre tout à zéro.
L’accueil était chaleureux et devait l’être car c’était au niveau du secrétariat que se forgeaient les premières impressions des patients vis-à-vis du praticien et du cabinet car c’était là que ce faisait le travail d’accueil (construction de phrases à revoir ; la répétition du « car » pose problème). Dans cette pièce, il y avait le bureau de Mélanie en chêne, avec l’ordinateur, l’imprimante, et tous les papiers et dossiers des patients ainsi qu’un cadre avec la photo de ses parents lorsqu’ils étaient toujours ensemble. Dans un coin de la pièce il y avait une plante verte, un Bonsaï Orme de Chine et sur les murs il y avait des cadres représentant la nature et l’environnement. Il y avait des fenêtres avec des stores marron.  
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La salle d’attente était propre, confortable, calme mais n’était pas souvent très remplie. Il y avait une dizaine de fauteuils verts pour rappeler le thème de la nature, une table pour dessiner dans le coin à côté de la porte, un étagère avec des magazines placés sous les fenêtres. Sur les murs étaient accrochées des affiches sur la santé, notamment sur la dentition. Des affiches qui montraient l’importance d’un bon nettoyage dentaire et les risques d’un mauvais brossage : perte de dents, caries, mauvaise haleine, plaques dentaires…
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Dans cette salle il y avait aussi un aquarium avec des poissons rouges. Les toilettes se trouvaient en face de la salle d’attente, à l’intérieur les murs étaient peints en bleu, il y avait un miroir, un lavabo et puis les toilettes.
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Kary passait toutes ses journées dans son cabinet a l’exception du dimanche, et malgré tout ce temps de travail il ne gagnait  pas assez d’argent. Certes il en gagnait assez pour vivre convenablement mais pas assez pour se faire plaisir, comme par exemple voyager. Son plus grand rêve était de découvrir l’Amérique, Mélanie lui en avait tellement parlé…
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Ils s’étaient à présent bien installés et pouvaient s’offrir une visite dans le Cargo.
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Ce bateau disposait d’une piscine d’eau de mer, d’une salle de gymnastique, d’un sauna et d’une dizaine de tables de ping-pong. Il avait aussi une boutique de souvenirs. Une pièce était réservée pour admirer l’océan, les passagers avaient à leur disposition des sièges pour simplement regarder le paysage qui s’offrait à eux.
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Cela faisait déjà cinq heures  que Mélanie et Kary avaient quitté la terre ferme, ils apercevaient déjà au loin la Grande-Bretagne.
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Le Cargo devait faire une escale de dix heures à Southampton (2) pour accueillir quelques nouveaux passagers et nouveaux conteneurs. Durant cette escale, les passagers pouvaient faire un tour dans la ville mais ne devaient surtout pas trop s’éloigner afin de ne pas se perdre ou de manquer le départ, c’étaient les consignes de sécurité. Le couple avait décidé de faire une longue promenade en amoureux à l’entrée de la ville de Southampton. Ils étaient rentrés tous les deux main dans la main avant le départ du Cargo et étaient partis dîner. Les produits proposés étaient de bonne qualité, ils avaient bien mangé et pouvaient passer une agréable nuit en se faisant bercer par les flots de la mer.
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Le lendemain matin, Mélanie avait voulu tester le sauna avec Kary puis ils étaient partis dans la salle d’observation et avaient passé l’après-midi à bouquiner dans leur cabine. (7)
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Le quatrième jour (7), ils avaient alors parcouru plus du tiers de leur parcours, Kary avait remarqué par la fenêtre, des îles dont ils se rapprochaient petit à petit (8) :
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          « _  Mélanie, viens voir !
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    _  Oui, Kary, que se passe-t-il ?
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    _  Regarde ces îles, elle sont magnifiques.
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    _  Tu as raison, elles sont vraiment très jolies, quand je viens en                                                     
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          France habituellement je prends l’avion et je ne les avais
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          jamais remarquées.
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      _  C’est sûrement parce que le bateau et l’avion ne prennent pas
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          le même itinéraire.
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      _  Oui, sans doute, dommage que la batterie de l’appareil photo
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          soit à plat…
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      _  Tu n’as qu’a prendre une photo avec mon téléphone portable,
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          certes la photo sera de moins bonne qualité mais c’est mieux
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          que rien. » (9-7)
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Ces îles étaient des îles portugaises, il y en avait une plus grande que les autres, c’était l’île d’Angra do Heroisma.
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Sur cette île, il y avait beaucoup plus de verdures qu’il y avait d’habitations. Il y avait une dizaine de villages seulement. Le Cargo passait au Sud de l’île, on pouvait observer au premier plan une colline recouverte d’arbres avec de belles feuilles vertes.
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Au second plan il y avait un village, les maisons se ressemblaient entre elles, leurs façades étaient blanches et leur toitures de couleur orangée. Ces habitations n’étaient pas très hautes et ressemblaient beaucoup à celles de Pont-les-moulins. Il y avait un tout petit port pour accueillir de petits bateaux transportant un faible nombre de passagers.
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En arrière plan, on pouvait voir encore et toujours de la verdure car les autres villages n’étaient pas visible depuis le Cargo. (8)
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Les neufs jours étaient passés très vite et depuis le Cargo on voyait déjà apparaître quelques morceaux de terre appartenant à l’Amérique qui se dessinaient lentement sur l’horizon. Kary et Mélanie étaient tout excités à l’idée de poser le pied à terre dans la journée.
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Le Soleil se levait de plus en plus haut dans le ciel et se reflétait sur la mer, il éclairait l’Amérique de ses nombreux rayons.
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A midi, le Cargo ne se trouvait qu’a quelques kilomètres du port aux environs de seize heure, il commençait à rentrer à l’intérieur de New-York, dans Lower Bay.
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Ensuite, il remontait jusqu’à l’Upper Bay et avait atteint Manhattan pour arriver progressivement au port de l’East River Ferry.
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Le navire avait accosté lentement car il ne fallait pas l’abîmer.
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Sur le quai, il y avait beaucoup de personnes, tout le monde ne parlait pas la même langue, les langues se mélangeaient. Il y avait de l’Anglais, du Français, du Polonais, du Japonais…
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Le quai était fait en bois, il était situé non loin de quelques grattes-ciels. Plusieurs bateaux étaient prêts à partir, il y avait un magnifique Ferry qui transportait des passagers en direction de la France et un autre qui transportait des passagers en direction de l’Australie. Tout deux étaient remplis, il ne restait aucune place.
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Le couple faisait la queue pour sortir du Ferry, ils étaient sortis par un petit tunnel qui donnait sur le quai, puis étaient partis dans la file pour sortir du port, ils avaient montré leur carte d’identité et ils étaient partis en direction du parking enfin de prendre un taxi. (10)
  
  
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